Hier, comme tous les lundis, je me trouve à regarder Top Chef, toujours aussi fascinée par la dextérité dont peuvent faire preuve les VRAIS cuisiniers, en me disant que décidément, il n'est pas donné à tout le monde de pratiquer cet art.
Les gestes s'apprennent, le rythme se prend, l'imagination quant à elle semble une qualité indispensable. Tout un chacun n'est pas nécessairement à même d'anticiper les meilleurs accords, les plus savoureuses textures, les plus beaux dressages.
Pourtant, j'ai l'impression que les émissions de télé (que je suis la première à regarder) nous donnent une image faussée de cet univers. La compétition prend part au jeu, le stress et parfois les déceptions s'enchaînent. On en oublierait presque ce qu'est le plaisir de manger, de partager autour d'un plat. Là je fais mon Etchebest, mais finalement je pense que la philosophie est là.
Alors si j'ai longtemps hésité à poursuivre ce blog, en me demandant quelle était ma légitimité, je me dis aujourd'hui que mon leitmotiv reste le partage. Simplement l'envie de me rappeler quelles émotions ont accompagné ces quelques plats.
Ainsi, en grande adepte du simple et efficace, je ne me prétends pas cuisinière, mais simple ménagère amatrice de bonnes choses!
D'ailleurs, pour clôturer ces quelques mots, teintés de bonnes intentions, je vous propose de revisiter (à la façon non conventionnelle), la bonne blanquette de nos grands-mères.
Pour cette recette il faudra :
Les gestes s'apprennent, le rythme se prend, l'imagination quant à elle semble une qualité indispensable. Tout un chacun n'est pas nécessairement à même d'anticiper les meilleurs accords, les plus savoureuses textures, les plus beaux dressages.
Pourtant, j'ai l'impression que les émissions de télé (que je suis la première à regarder) nous donnent une image faussée de cet univers. La compétition prend part au jeu, le stress et parfois les déceptions s'enchaînent. On en oublierait presque ce qu'est le plaisir de manger, de partager autour d'un plat. Là je fais mon Etchebest, mais finalement je pense que la philosophie est là.
La gastronomie certes, mais la cuisine avant tout.
Alors si j'ai longtemps hésité à poursuivre ce blog, en me demandant quelle était ma légitimité, je me dis aujourd'hui que mon leitmotiv reste le partage. Simplement l'envie de me rappeler quelles émotions ont accompagné ces quelques plats.
Ainsi, en grande adepte du simple et efficace, je ne me prétends pas cuisinière, mais simple ménagère amatrice de bonnes choses!
D'ailleurs, pour clôturer ces quelques mots, teintés de bonnes intentions, je vous propose de revisiter (à la façon non conventionnelle), la bonne blanquette de nos grands-mères.
Pour cette recette il faudra :
- 800g de veau
- 4 petites carottes ou 3 grosses
- 3 petites pommes de terre
- 1 poireau
- Une dizaine de petits oignons
- 100g de champignons de paris
- Farine
- Une feuille de Laurier
- 25 cl de vin blanc
- 3 verres d’eau
- 2 cubes de bouillon de volaille
- Citron confis
- Jus de citron
Couper les champignons en fines
lamelles, les carottes en rondelles, et les pommes de terre et le poireau en tronçons.
Faire revenir le veau dans une poêle avec de
l’huile d’olive ou du beurre jusqu’à ce qu’elle obtienne une jolie couleur
dorée.
Puis saupoudrer avec deux cuillères à soupe de
farine. Bien remuer et ajouter deux verres d’eau et 3 cuillères à soupe de jus de citron (à doser comme vous l'aimez).
Ajouter les deux cubes de bouillons de volaille et
le vin blanc. Remuer encore.
Intégrer à cette préparation les légumes et
mouiller à hauteur avec un verre d’eau supplémentaire. Ajouter le citron confit, râpé très fin. Rajouter de l’eau si
necessaire afin de bien recouvrir la préparation.
Laisser mijoter 1h30 en remuant de temps en temps.
Dans une autre poêle, faire fondre une noix de beurre et faire revenir les petits oignons à feu doux. Une fois que ces derniers sont bien moelleux, laisser refroidir. Ajouter dans la sauteuse, 30 minutes avant la fin de la cuisson.
Laisser mijoter 1h30 en remuant de temps en temps.
Dans une autre poêle, faire fondre une noix de beurre et faire revenir les petits oignons à feu doux. Une fois que ces derniers sont bien moelleux, laisser refroidir. Ajouter dans la sauteuse, 30 minutes avant la fin de la cuisson.
C'est prêt!
A noter : Je trouve personnellement que le dressage est plus sympathique dans de petites cocottes en fonte individuelles. Malheureusement, je n'ai pas encore eu l'opportunité de m'équiper de ce genre d'accessoire (j'en appelle d'ailleurs à la générosité de certains lecteurs!), c'est pourquoi il faudra vous contenter de ma jolie sauteuse en guise de visuel =)
A noter : Je trouve personnellement que le dressage est plus sympathique dans de petites cocottes en fonte individuelles. Malheureusement, je n'ai pas encore eu l'opportunité de m'équiper de ce genre d'accessoire (j'en appelle d'ailleurs à la générosité de certains lecteurs!), c'est pourquoi il faudra vous contenter de ma jolie sauteuse en guise de visuel =)
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